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16 décembre 2006 6 16 /12 /décembre /2006 11:15
Nous le redoutions tous, mais l'immense volonté unitaire entretenait encore tous les espoirs. Aujourd'hui, 16 décembre, jour anniversaire ( ô combien symbolique!) de l'arrivée de Georges-Marchais au Secrétariat National du PCF en 1972, l'appareil Communiste a pris la pire des décisions en décidant de conforter la candidature de Marie Georges Buffet.
Les voix dissonnantes et unitaires n'ont pas été entendues. La raison a été balayé par le vent qui souffle de l'Est comme il soufflait il y a trente-quatre ans quand Marchais prenait la barre du Parti.
Las, cette fois-ci, ce n'est pas le vaisseau Potemkine qui fend les flots de l'Histoire, c'est la "Nef des Fous" qui tangue sur la Baltique communiste.
Marie-Georges, tu aurais pu rester dans l'histoire de la Gauche comme celle qui a permis au grand mouvement antilibéral de prendre son envol. Tu n'y vivras que comme dernier avatar d'un grand parti qui n'a su, ni fédérer, ni se réformer.
Pensons à l'immense déceptions des camarades communistes unitaires à qui l'on intime l'ordre de se ranger derrière les Gremetz, Boquet et autres survivants du glacis soviétique.
Pensons aussi à celles et ceux, jeunes, femmes, travailleurs, chômeurs qui attendaient beaucoup de nous tous, vous compris, camarades communistes.
Ce sont eux qui vont payer le prix fort de cette erreur historique.
Nous, antilibéraux de tous horizons, nous continuerons à nous construire. Cela prendra plus de temps, mais cette déchirure aura au moins le mérite de nous montrer qu'avec certains, nul projet n'était possible.
Les autres, les camarades unitaires ont toute leur place dans le nouveau mouvement social.
Quant aux momies bolcheviques, on les regarder sombrer avec leur vaisseau fantôme stalinien.
Et le Mammouth ne lancera aucune bouée de sauvetage!

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14 décembre 2006 4 14 /12 /décembre /2006 08:20
Un coup de trompe en passant à Sarko et le choix judicieux de ses supporters.
il y avait Doc Gynécon, rappeur râpé et ses ennuis fiscaux.
Au tour de Johnny maintenant de faire un remake de "Prends l'argent et tire-toi!" L'idole des jaunes! Bien sûr on a les amis qu'on mérite. Et même pas sûr que cela fasse réfléchir les fans du vieux  crooner, eux-même souvent victimes de cette société, adorateurs de milliardaires.
Mais juste pour le plaisir, et parce que ça fait du bien, le Mammouth conchie l'homme-sandwich d'Optique 2000 et son mentor politique.




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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 07:39
Suite à une plainte en diffamation déposée par les Chantiers de l’Atlantique, Mme Bironneau, juge d’instruction auprès du tribunal de grande instance de Saint Nazaire, a mis en examen le responsable du site Bellaciao ( http://bellaciao.org ), Roberto Ferrario. Ce dernier est accusé d’avoir publié un communiqué de l’USM CGT intitulé "La flibusterie des temps modernes", qui défendait notamment des salariés polonais de l’entreprise qualifiés d’"esclaves modernes".

"Nous condamnons les poursuites judiciaires intentées contre Roberto Ferrario, qui n’est pas l’auteur du texte jugé diffamatoire par les Chantiers de l’Atlantique. Bellaciao n’a fait que publier in extenso le communiqué syndical, en indiquant clairement sa source. Une telle procédure, coûteuse pour un individu, pourrait conduire à la fermeture du site, ce qui serait inacceptable. Nous appelons les plaignants à abandonner leurs poursuites, et, à défaut, nous demandons à la justice de les débouter de leur plainte", a déclaré Reporters sans frontières.

Roberto Ferrario a été informé le 18 octobre 2006 qu’il était mis en examen et que son dossier allait être transmis au Procureur de la République. Le communiqué de la CGT, publié le 16 septembre 2005, et qui est toujours accessible sur Bellaciao, accusait les Chantiers de l’Atlantique de se livrer à du "banditisme patronal" et de perpétrer des "actes mafieux".

Philippe Kasse, qui était responsable de la communication des Chantiers de l’Atlantique au moment des faits, a déclaré à Reporters sans frontières : "Nous avions porté plainte aussi contre l’USM CGT. Je ne sais pas pourquoi le juge a décidé d’engager une procédure uniquement contre le diffuseur de l’information et non contre les rédacteurs du communiqué. Ceci dit, il est normal qu’un site assume la responsabilité de ce qu’il publie. D’autres médias avaient mentionné le communiqué, mais aucun n’avait repris exactement les termes de l’USM CGT, que nous jugeons diffamatoires."

Bellaciao est un site d’information participatif mis à jour par des militants de la gauche alternative. Une pétition de soutien au site et à l’USM CGT est disponible en ligne :
http://bellaciao.org/fr/soutien-bellaciao.php#petition
http://www.rsf.org/article.php3?id_article=19970
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1 décembre 2006 5 01 /12 /décembre /2006 16:40
Jamais les outils informatiques n'ont atteint une telle puissance et cependant jamais le gouvernement n'a été aussi désinvolte et irrespectueux de la vie privée des citoyens. Aujourd’hui, il propose au Parlement d'autoriser l'interconnexion de tous les fichiers sociaux au moyen du numéro de Sécurité Sociale (NIR) ; tandis qu’un amendement est déposé pour utiliser ce même numéro pour toutes les connections au Dossier médical personnel (DMP) des 60 millions de personnes concernées.

Le numéro de Sécurité sociale est un numéro qui associe à chaque chiffre une information qui renseigne sur son titulaire. Pour éviter qu’il ne soit dangereux en terme de liberté, son usage a été très fortement limité par la loi.

Retrouver ce numéro signifiant dans de multiples fichiers serait la dernière étape avant l’interconnexion des fichiers. Est-il acceptable qu’un même identifiant soit utilisé à la fois pour la gestion du droit à la sécurité sociale comme aujourd'hui, et également demain pour croiser nos fichiers sociaux et accéder à notre DMP, et comme certains l’ont déjà demandé pour identifier notre dossier fiscal, voire notre dossier chez l’assureur ? Peut-on considérer que le droit à une vie privée serait aussi bien préservé avec de telles extensions ? Évidemment, non.

La suite :
Ma vie privée sur la place publique, jamais !

Une péttion est en ligne.
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22 novembre 2006 3 22 /11 /novembre /2006 08:25
Lettre de l'intersyndicale des employés de la MAIF. A faire connaitre aux sociétaires de votre entourage.

Madame, Monsieur, Cher(e) Sociétaire,


Aujourd’hui 22 novembre 2006, les salariés de votre Mutuelle sont en grève pour sauvegarder les valeurs fondamentales de Mutualité et de solidarité qui ont présidé à la création de la MAIF.


En 1936, plusieurs enseignants ont décidé pour se démarquer du modèle capitaliste, de se regrouper et « d’inventer » un modèle nouveau de société d’assurance selon le concept de Mutualité.

Grâce à vous, la MAIF a pu se créer, se construire et se développer.


Force est de constater que 70 années plus tard, le Conseil d’Administration de la MAIF remet en cause les valeurs fondatrices de son identité en s’alignant sur les modes opératoires du système capitaliste.

La direction, par le biais d’une pseudo négociation appelée «  Nouvelle Donne Sociale » entend remettre en cause, au prétexte d’amélioration du service rendu aux sociétaires :

  • Les amplitudes d’ouvertures des jours et horaires de travail pour mettre en p)lace : du lundi au vendredi de 8h à 19h30 et le samedi de 8h à 17h30, avec une organisation en relais/roulement au gré du bon vouloir de l’employeur.

  • La rémunération, avec l’introduction de critères d’objectifs et la modification de la grille d’avancement à l’ancienneté.

Ces reculs sociaux interviendraient alors que la recherche constante de gains de productivité dégrade de plus en plus les conditions de travail et l’équilibre vie professionnelle/vie privée des salariés.

Nous pensons au contraire que la qualité du service rendu au sociétaire est de :

- Préserver l’accueil humain

  • Conserver un temps d’échange suffisant et une réponse réactive à vos demandes

  • Continuer à vous proposer des contrats et produits adaptés à vos besoins et différenciés de ceux présentés par nos concurrents libéraux.

Nous réaffirmons que le maintien d’un statut satisfaisant pour les salariés MAIF est le meilleur garant d’un service de qualité rendu à nos sociétaires. Au même titre, le statut des agents de la fonction publique est le garant d’un service public de qualité.

En interpellant les membres du Conseil d’Administration que vous avez élus, vous vous ferez les gardiens des valeurs mutualistes et du modèle social MAIF.


L’Intersyndicale MAIF CGT, CFDT, FO

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6 novembre 2006 1 06 /11 /novembre /2006 08:39
Il fallait s'y attendre, ce matin, Jean-Marc Sylvestre, technicien de surface dans les toilettes du MEDEF, a profité de la grande panne qui a paralysé une partie de l'Europe, pour demander encore plus d'électricité, encore plus de lignes à haute tension et encore plus de privatisation. Mieux, il a réclamé encore plus de pylones, alors que compte-tenu des évolutions climatiques, ce moyen de transport peu sécurisé de l'énergie est fortement déconseillé.
Mieux, n'a-t-on pas accusé les éoliennes d'être à l'origine du problème en enjectant trop de courant dans le réseau européen? On croit rêver!
Ce qui est certain, c'est que nous sommes passés à côté d'un black out totalm en Europe, avec tous les problèmes que cela pourrait poser. Et tout cela aurait été la faute d'un navire de croisière norvégien
Bien sûr, personne ne se pose la question de la gestion globale de l'énergie, des dépenses incohérentes des états et du secteur marchand, et de la pertinence du reseau européen. Compte-tenu des aléas climatiques, et des canicules et refroidissements probables dans les très prochaines années, toutes ces problèmes seront de plus en plus présents.
Pourtant, rien n'est fait pour se poser la question d'une consommation maitrisée ni pour la création indispensable d'une agence européenne de l'énergie, dépendant uniquement des états et non des marchands.
Cela montre les faiblesses de cette Europe, faiblesses que nous avions pointées avec raison lors du référendum. Mais cela augure mal de l'avenir. A moins d'indiquer clairement en 2007 quelle direction nous devons prendre.
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2 novembre 2006 4 02 /11 /novembre /2006 10:29
On a envoyé ceci au Mammouth. Mis en ligne pour débattre.

Les résultats sont-ils en baisse ou les exigences en hausse ? Pour la première année, les évaluations des élèves de CE1 sont généralisées dans toutes les écoles de France. Et les premiers résultats, inquiétants.

De nombreux témoignages recueillis depuis quelques semaines nous permettent d’ores et déjà de pointer un problème majeur : les épreuves retenues (et les instructions en matière de codage de résultats) mettent en difficulté une proportion d’élèves sans commune mesure avec les résultats des années précédentes. De nombreuses classes affichent un pourcentage d’élèves identifiés " en grande difficulté " supérieur à 60%.

Résultat, ici, un inspecteur prend conscience du malaise et suspend toute passation. Là c'est un inspecteur d'académie qui fait état publiquement de ses doutes sur la validité du protocole retenu. Partout, les circonscriptions sont débordées par la demande de livrets « B » supplémentaires.

Pour certains items, la distorsion est flagrante avec le protocole de l’an passé. Ainsi la double page de l’exercice 1, demandant aux élèves de choisir les mots correctement orthographiés en dessous de leur image, également présente dans les évaluations de CE2, est massivement échouée, en particulier du fait du codage prescrit : zéro défaut imposé.

Evidemment, quelques âmes mal pensantes suspectent la manipulation, en ces temps de polémique médiatique sur la lecture : le meilleur moyen de pouvoir dire n’importe quoi sur la question, c’est de casser l'échelle du thermomètre pour ignorer l’état de la fièvre. Annoncer publiquement une inflation de difficultés scolaires en début de CE1, ne serait-ce pas le dernier argument d’un ministre acculé à la gesticulation médiatique pour assurer son propos sur " tout fout le camp " ?

"Pourtant", explique Michèle, suivant depuis plusieurs années ses élèves en cycle II en ZEP, "les résultats de la cohorte de cette année ne sont ni pires ni meilleurs que ceux de l’an passé. Mais je suis sûre que les exercices choisis et la manière de coder entraînent une performance aux tests bien plus négative".

Pour ne pas céder à la paranoïa, il faut revenir sur la genèse de cette évaluation. Sa construction a été produite, de 2002 à 2004, par un groupe très hétérogène autour de la Desco (Direction de l’Enseignement Scolaire du ministère de l'éducation nationale) et de la Dep (Direction de l’Evaluation et de la Prospective). Constitué de chercheurs (linguistes, psychologues, didacticiens), de représentants de l’Inspection Générale, d’acteurs de terrain (IEN, CPC, enseignants), ce groupe s’est posé toutes les questions nécessaires pour "cadrer" cet exercice. Quelle part pour la numération ? Et les pseudo-mots ? La production d’écrit ? Les activités de compréhension ? Quel niveau de vocabulaire exiger pour les textes proposés à la lecture des élèves ? Quel niveau de langue ? Quel codage des items ? Combien de temps de passation ? Selon quelles modalités ? Quels items sont réellement basiques, prédicteurs des difficultés ?… Le codage des résultats a été lui aussi au centre de discussions passionnées : à quel niveau d’échec va-t-on demander à l’élève de passer la partie complémentaire de l’évaluation ? 3/ 15 ? 5/15 ? 8/15 ?

A partir du travail statistique réalisé dans cette première phase, les items retenus avaient été choisis pour arriver, en moyenne, à un taux de réussite de 85% de bonnes réponses à la première épreuve, afin de bien identifier ces 15% d’élèves dont on sait qu’ils posent problème à l’Ecole. Evidemment, ce 15% est inégalement réparti sur le territoire national : dans certaines ZEP, on peut arriver parfois à 50%.

Mais cette année, les résultats semblent montrer une aggravation conséquente des résultats : hors ZEP, les élèves en difficulté sont souvent 30 à 40%, pour monter à 80% dans les zones ZEP. Dans ces conditions, il y a fort à parier que l'évaluation nationale ne puisse aider en rien les enseignants pour adapter leur enseignement.

Difficile de savoir qui a décidé de la forme finale que prendrait le protocole. La Desco est aux abonnés absents et le groupe de pilotage qui avait monté le protocole initial a été dispersé. Pour le moment, au ministère, on affirme attendre les remontées du terrain pour la mi-novembre. On veut croire que les enseignants ont peur de la nouveauté. Comme si ce genre d'évaluation était inédit.

Si le ministère veut montrer que ce dérapage est autre chose qu’une manipulation supplémentaire pour truquer les chiffres, il va falloir qu’il fasse rapidement quelque chose. S’il ne dit rien d’audible, il sera une fois de plus contreproductif, faisant douter encore plus les enseignants de l’utilité de centrer leur activité sur les évaluations diagnostics, qui sont pourtant un outil efficace pour accompagner les maîtres dans la compréhension des difficultés des élèves. (Avec Patrick Picard)
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30 octobre 2006 1 30 /10 /octobre /2006 08:02
Quand il s'envole pour l'étranger Chichi 1er n'omet pas de mettre sans ses bagages la spécialiste des voyages en avion payés par le contribuable, Bernadette Chirac, dite Bernie, née Chaudron de Courcel, tombée toute jeune dans la marmite du catholicisme étriqué et réac.

Comme il avait aussi invité, Serge Dassault, avioneur, patron de presse et braconnier occasionnel, cette dernière, observant un chantier à Pékin s'est écrié : "Vous avez vu Serge, les chantiers à Pékin? Ils travaillent jour et nuit ces chinois. Jour et nuit... Et pendant ce temps-là, nous, en France, on dort. Il faut arrêter cette décadence du travail chez nous."

Venant de la part de cette spécialiste des frais de bouche payés par la collectivité à 3 000 frs par jour, ou du racket des tirelires pour faire se pub en pièces jaunes, ça vaut son pesant de potage aux ailrons de requins ( de la finance).

Cette aristo de province doit regretter le temps des corvées et des serfs taillables et corvéables à merci. Vivement que  le temps des révolutions reviennent afin que les croquants aillent en son château de Bitty, lui rappeler que le seul souverain en
France c'est le peuple.

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19 octobre 2006 4 19 /10 /octobre /2006 16:32
Vous en pensez quoi des politiques? Des hommes et femmes politiques : maires, députés, ministres... Et si on vous demandait à brûle-pourpoint comment vous les voyez? Sans réfléchir. Le premier jet.
Cela vient d'être fait il y a peu par le CEVIPOF. Et le résultat a été édifiant. Il a bien sûr provoqué hier soir dans les couloirs de l'Assemblée, dénégations, indignations et cris d'effroi.
La raison?
60% des français pensent que les hommes politiques sont corrompus. Ils n'étaient que 38% en 1977. Ça fait réfléchir! Non?
Et parmi les nominés la palme revient au gouvernement (77.9%), ensuite à la Présidence de la République (69.1%! on ne prête qu'aux riches!!!) et suivent les députés (68%).
Et 95% des personnes intérrogées disent qu'elles ne voteraient pas pour quelqu'un mis en cause dans une affaire. On comprend mieux pourquoi Chirac s'est rendu intouchable!
Malgré tout, on se demande encore pourquoi des Balkany, ou des Juppé sont rééllus. Quoi que si on fait le compte réel des voix récoltées par le maire de Bordeaux, on voit qu'ils ne sont pas à légion à le plébisciter.
Et puis il y a eu  l'amnistie de Guy Drut, l'affaire Schuller en cours qui font tout pour accentuer le sentiment de défiance. Sans oublier Nabot Léon, sa femme et leurs magouilles municipales à Vitrolles.
D'ailleurs s'il fallait dresser une liste de délinquants politiques, à droite comme à gauche, nous y serions encore ce soir!
Pourtant, tous, loin de là ne méritent pas l'opprobe. Mais tous sans exception ont laissé pourrir cette royauté déguisée en République, en s'arrangeant de ses partis, de ses factions et de son fonctionnement anti démocratique dépassé.
Et, même le PS ne propose rien de bien convainquant pour redonner la parole au peuple, avec les moyens de construire une vraie démocratie participative, les  outils nécessaires pour en contrôler les élus et l'utilisation de leurs mandats. Il fera comme ont fait ses prédécesseurs : il se servira du système. Jusqu'à ce qu'il lui pète dans les pattes. Quand à la droite, n'en parlons même pas.
Le Pen peut être content. Sans même aboyer, il engrangera encore les voix des mécontentements, puisqu'à part la gauche antilibérale que les médias baillonnent, personne ne fait entendre une musique audible et claire en matière de démocratie.
Il va vraiment être temps de porter haut et fort un autre discours.
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16 octobre 2006 1 16 /10 /octobre /2006 07:49
Chérèque, ancien homme de main de Fillon et Raffarin, qui s'est tristement distingué pendant la réforme des retraites, persiste et signe.
Vous trouverez ci-dessous la relation des discussions que ce triste sire a eu avec Laurence parisot, patronne du MEDEF. Nul doute qu'il doit postuler à un emploi de texhnicien de surface dans les toilettes patronales. Mais il n'y a pas de sot métier! il n'y a que de sots syndicalistes.

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