Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Archives

24 décembre 2008 3 24 /12 /décembre /2008 06:58
Aujourd'hui, nous sommes le 4 nivôse de l'an 217 de ( mais pour combien de temps encore?) la République.

Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1793
Art 35 :
"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."

A Sarkoléon qui institie l'Injustice comme principe de gouvernement
"Les gens ne supportent pas le sentiment d'injustice. La pauvreté, le froid, même la faim, sont plus supportable que l'injustice." Millicent Fenwick

C'est arrivé ce 24 décembre :


En 800, couronnement de Charlemagne 

En 1642, naissance d'Isaac Newton  

En 1524, mort de Vasco de Gama, en 1635 de Samuel de Champlain  

A la Une :
Sarkoléon enferme Coupat et libère Marchiani. Tous les démocrates sont révoltés. En France la Justice est bafouée et le Prince s'assoit dessus.
L'acharnement contre Julien Coupat.
Marchiani, un drôle de détenu méritant.
Sarkoléon, Pasqua et Marchiani

Sarkoléon petit VRP des marchands d'armes au Brésil.

Drole de Noël pour Julien Dray avec des révélations dans ses sabots. Info ou intox?
Parlement : la Poutinisation rampante

Elections régionales : les ministres qui veulent cumuler.

Nombreux appels à la grève pour le 29 janvier.

La crise est encore plus dure pour les plus pauvres.
Assurance-chômage : un accord qui au final avantagera le patronat. La CFDT est contente!
Les philosophes, le sans-papiers et la Police : journée ordinaire de répression en Sarkoland.
Sans-papiers : les oubliés de Saint-Paul

FMI : le spectre de la grande dépression.

Méditerranée : la rareté de l'eau douce.

En Belgique, encore et toujours la crise politique.
Coup d'Etat en Guinée.

Ce que vous avez loupé
en 2008!

Qu'il fait bon au coin du "Feu"!

Partager cet article
Repost0

commentaires

L
Informez-vous Le Mammouth ci-joint un extrait d’un article d’Annie Pelletier et Vidalie (Express.fr) ‘Un sac à dos trouvé au Canada<br /> L’affaire des “neuf de Tarnac” débute loin des vieilles pierres de leur fief ­corrézien, le domaine du Goutailloux. Le 31 janvier 2008, à la frontière entre les Etats-Unis et le Canada, la gendarmerie royale canadienne découvre un sac à dos abandonné dans une voiture. A l’intérieur: la copie du permis de conduire d’un Français, Julien Coupat, 34 ans, entré illégalement aux Etats-Unis avec son amie, Yildune Lévy; des notes retranscrivant les débats d’une réunion anarchiste organisée à New York du 10 au 15 janvier; et quelques photos de Times Square, à Manhattan. C’est là qu’un mois et demi plus tard, le 6 mars 2008, un attentat à la grenade endommage un centre de recrutement de l’armée américaine. Les gendarmes canadiens font le rapprochement avec le sac découvert en janvier et alertent Paris. En avril, le parquet lance une enquête préliminaire pour “association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste”. Ce sera le point d’ancrage des investigations confiées à la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire, épaulée par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).<br /> La nuit des saboteurs<br /> Le vendredi 7 novembre, les policiers suivent la Mercedes immatriculée 277 AEX 76 qu’utilisent Julien et Yildune. Ils les soupçonnent de vouloir s’opposer au passage du train “Castor”, un convoi de déchets nucléaires à destination de l’Allemagne. Selon le rapport de surveillance, Julien se montre très méfiant au point de s’arrêter en pleine voie sur l’autoroute… comme s’il cherchait à déjouer une éventuelle filature. A Trilport (Seine-et-Marne), les deux jeunes gens jettent dans une poubelle un emballage de lampe frontale, des guides du réseau SNCF et des horaires de TGV. Ils reviennent parfois sur leurs pas, comme s’ils cherchaient, une fois de plus, à détecter tout signe de surveillance.A 4 heures du matin, la Mercedes s’arrête à Dhuisy (Seine-et-Marne) à l’aplomb de la voie de TGV Est. Selon les enquêteurs, Julien et Yildune y restent “vingt minutes” avant de regagner Paris. Les policiers inspectent alors les voies, mais pas les caténaires. Au passage du premier TGV, à 5 heures, une “gerbe d’étincelles d’une intensité anormale et un mouvement d’oscillation” se déclenchent. La motrice poursuit sa route. Dans la soirée, les enquêteurs apprendront qu’elle a été endommagée par un fer à béton placé sur les caténaires à Dhuisy, l’endroit précis où stationnait la Mercedes. Entre-temps, trois actions similaires ont eu lieu, sur des lignes TGV dans l’Oise et dans l’Yonne. Des milliers de voyageurs sont restés à quai. Au ministère de l’Intérieur, on est certain de tenir les saboteurs. A commencer par leur chef supposé: Julien Coupat.”Ces personne étaient surveillées .Ils n’ont jamais voulu s’expliquer sur ces déplacements.Alors le Mammouth avant de faire monter la mayonnaise informez -vous et aprés vous serez crédible
Répondre
L
<br /> Diable camarade prétorien, d'où tiens-tu ces informations de première bourre.<br /> De deux chsoes l'une : tout ceci est vrai. Alors qu'on nous montre les preuves. Pas de problème.<br /> Ou alors ce sont des présomptions et la procédure régulière doit être engagée.<br /> <br /> <br />